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Nos missions

Nos missions

LA COMMUNAUTÉ PORTUAIRE DE PARIS A POUR OBJET :

> De rassembler des opérateurs fluviaux ou terrestres proches du fleuve implantés sur sa zone d’intervention en vue de permettre un développement harmonieux et synergique de leurs activités, et proposer aux pouvoirs publics et établissements publics une action centralisée pour gagner en efficacité dans toutes démarches visant à améliorer et développer leurs exploitations ...

La Seine, de Villiers-sur-Seine à l'île SAINT-DENIS

Le Long, jusqu'à Souppes-sur-Long

Le canal SAINT-MARTIN

Le canal de L'OURCQ

Le canal SAINT-DENIS

> ... De représenter l’ensemble des entreprises implantées sur sa zone d’intervention, ayant une activité économique en lien avec le fleuve ou les berges du fleuve,


> De proposer des réponses communes aux problématiques se posant aux entreprises situées sur sa zone d’intervention (par exemple en terme de sécurité, transport en commun, formation professionnelle, gestion des déchets, informatique communautaire…), de partager et d’échanger des expériences sur les plans économiques, administratifs, sociaux et techniques.


> De prêter son concours à toutes les autorités, instances ou organismes impliquées ou susceptibles d’intervenir directement ou indirectement sur sa zone d’intervention,


> De développer l’image et l’attractivité de l’espace portuaire et promouvoir l’utilité économique, sociale et environnementale des activités industrielles et logistiques de ses entreprises.

La logistique urbaine fluviale


Seuls les bateaux permettent de massifier de manière écologique les flux entrants et sortants de la ville. Le chaînage terrestre s’effectue ensuite par des petits véhicules zéro émissions sur des distances raccourcies. 


La mixité des usages, sur un même site, voire sur un même bateau, en fonction des espaces ou des périodes


Les emplacements à Paris sont rares, seuls les partages permettront d’en optimiser l’usage. Il faudra aborder désormais chaque site et chaque bateau en réfléchissant aux complémentarités entre culture, loisir, négoce, industrie, ou logistique. Il ne s’agit pas d’opposer les usages mais de les concilier. Le fleuve induit une mobilité qui suggère flexibilité et créativité dans la réflexion. 


La transition énergétique des flottes, dont la CPP a pris l’initiative


Elle vise la remotorisation des 141 bateaux navigants commerciaux sur le bief et les canaux et représente un investissement de 100 M €. Un groupe « pilote » de 12 armateurs, apportant chacun un bateau, et représentant les 6 activités navigantes s’est constitué, afin d’élaborer la méthode qui s’appliquera ensuite à l’ensemble des bateaux. En parallèle nous engageons une réflexion sur le bateau du futur. 


L’apport de la nature en ville


Sachant que cette nature est néanmoins structurée par l’homme, à commencer par l’écoulement de l’eau. Gardons en tête que, sans les infrastructures, depuis le XIXe siècle on pourrait traverser la Seine à pied l’été.
Rafraîchissement : les thermographies montrent que les voies d’eau génèrent des îlots de fraîcheur.
Végétalisation : nous pensons que la végétalisation des murs de fond de quai pourrait permettre à la fois d’y améliorer l’air et d’absorber le son qui se réverbère sur la pierre.
Bien-être lié à l’eau : les quais de Seine et des canaux sont les seuls endroits où les Parisiens sourient! L’eau a des vertus apaisantes et facilite la convivialité.
Risques de crues : après juin 2016, nous avons compris que quelque chose avait changé. 500  ans en arrière, on ne trouve aucune trace d’une crue d’ampleur au mois de juin. Nous allons organiser la formation et la logistique par port, pour que le sujet soit désormais abordé de manière à la fois coordonnée et localisée. Nous avons d’ores et déjà pratiqué des exercices de démontage sous 24h très concluants. 


Le désenclavement du fleuve, aujourd’hui au centre de la ville et pourtant à l’écart de celle-ci 


Physiquement le fleuve se situe en creux par rapport à la ville et a longtemps constitué un monde à part : il faut pouvoir y accéder plus facilement. Nous devons également travailler sur le lien entre les résidents des quartiers et la voie d’eau. Que ce soit à Boulogne ou à Asnières, nous avons expérimenté des démarches encourageantes dans ce sens. Dans des villes où rien ne remplace la place de village, les quais de Seine constituent non seulement une promenade, mais un lieu où se rencontrer.
La Fête : où ailleurs en ville peut-on organiser des parades, des festivals, des fêtes, à la fois sans impacter la vie de la cité et en maximisant les angles de perception-participation (quais hauts, ponts, deux rives, bateaux) ?

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